Uniprix Santé Véronique Lambert et Patrick Allard - Pharmacie affiliée

Faites attention aux produits comestibles que vous achetez là bas, ils ne vérifient pas les dates d’expiration sur les paquets. J’ai acheté des M&M durant la première semaine de février 2023, ils manquaient de goût donc je regarde la date et la date du meilleur avant est le 13 janvier 2023

Très bon service

A l'écoute du client, prend tout le temps qu'il faut pour répondre à nos questions. A cette pharmacie et celle d'Ancienne-Lorette sur la rue Saint-Jacques qui sont les mêmes propriétaires.

Toujours du bon service de tout le personnel qui, en passant, est toujours souriant et disponible pour vous aider.FORTEMENT RECOMMANDÉ

Merci beaucoup à la phamacienne dont j'ignore son nom pour ces conseils le 15 juin 2023 concernant un ongle incarné et infecté.

Que dire de cette pharmacie? J'y suis client depuis maintenant 3 ans et m'ont toujours traité et servi avec respect, bonne humeur et avec le sourire. Une méchante belle gang comme on dit! J'aurai toujours un petit faible pour la belle et adorable... Naaah! ;)

Merci pour le bon service

Excellent endroit. Les pharmacien et pharmaciennes sont toujours a l ecoute et ils mon regler un probleme de sante pour toujours. Merci 1000 fois

Pharmacien aimable et à l'écoute !

Bravo, Cette pharmacie donne un service formidable. Les pharmacien(e)s, madame Lambert et monsieur Allard ainsi que le personnel font le maximum afin de nous aider et résoudre toutes le questions relatives a notre santé!!Me, Maxwell and ILors de ma dernière escapade au lac Renaud, je réalisais en cette fraiche soirée automnale, que l’été était désormais achevé. Une caravane de rêves perdus avec ses volutes de poussière, survint dans mes pensées, alors que je contemplais au loin un huard qui plongeait la tête dans l’eau déjà refroidie à l’affût de truites; je le reconnus aussitôt; c’était Maxwell! Tout comme moi, il était seul.On avait fait plus ample connaissance le printemps précédent, alors qu’en vertu de l’apprivoiser, je lui larguais un onéreux festin de vers de terre.Subséquemment, il s’approcha parfois presqu’à portée de main, tant notre idylle fût chatoyante. C’est là que je le baptisai : « Maxwell »!Comme dans bien des histoires d’amour, ça s’est gâché en quelques semaines, suite à plusieurs épisodes de pêches; Maxwell s’abordait trop près de ma chaloupe et tentait dès lors d’escamoter presque tous les poissons suspendus à ma pauvre ligne de pêche.Suite à ces coutumes culturelles répétées, j’ébauchai un tapage de rames biscornu, afin que « Maître Maxwell » garde ses distances. Il en advint inopportunément, nos premières chicanes de ménage. Nos intérêts étaient trop analogues.Solitaire sur le quai, je réalisai avec tristesse que Maxwell avait acquis la maturité nécessaire afin de concevoir que notre fraternité d’antan était tout à fait incompatible.Avant de remonter la montagne, j’eus encore la concupiscence de l’appeler d’un cri par son patronyme, mais je ne le fis pas. Au fil de mon incartade, je me devais en ce moment, d’assumer l’évidence.Ayant prodigieusement fait lecture subliminale de mes pensées, l’oiseau migrateur lâcha alors un sombre et longitudinal hululement de stentor qui me serra le cœur…Le huart avait noblement noté ma présence et accusé réception de notre état d’âme conjoint!Le crépuscule apathique m’incita à délaisser cet ami lointain que j’aimais encore tant. Avant que ma rentrée se fasse hasardeuse sous l’obscurité croissante, les yeux embués de larmes.G. Picard 09/17