Centre d'hébergement Sacré-Cœur ( Hôtel Dieu Du Sacré-Coeur )

Très professionnel

je suis hospitalisée la bas pour mon anxiété et je guéri plus tôt vite!

J'ai eu à aller là pour une éval. psychiatrique lorsque ado et aucun profesionnalisme, pas de confidentialité, dame était en retard, a pris ça à la légère, pas vérifié la dangerosité de mon cas, je vivais abus et violence mais ça lui ai passé au-dessus de la tête. résultat : je rush encore ma vie aujourdhui....

De très bon service donné a cette endroit.

Chsld de qualité moyenne

Nouveau depuis quelques mois : un local de rencontre pour le DPJ.Dommage que les jouets soient si vétuses: certains sont tellement vieux que je jouais avec enfant! Poussettes sans poupée, jeux de société et casse-tête incomplets ou cassés.Locaux sales et poussiéreux où faute de budget, les parents doivent balayer et laver les tables. Divans tachés et toilettes sales. On vous force parfois à faire manger les enfants sur des tables basses sans chaise à même le sol. Les bébés qui rampent sont noirs de poussière sur les mains et les vêtements.Le DPJ a investi sur les ordinateurs visiblement plutôt que sur les jouets pour les enfants et un budget de nettoyage adéquat. Aucun endroit pour jouer dehors et locaux mal aérés l'été où ça devient étouffant.Le personnel se permet de commenter entre eux devant les parents et enfants (rigoler, susurrer entre eux, faire des visages contrariés) comme si ils étaient devant une cage à gorilles au zoo! Il est interdit aux enfants de ramener les bricolages fait avec leur parent. De toute façon il est difficile de faire des bricolages sans emmener son équipement car il n'y a rien sauf quelques crayons de cires cassés et un album à colorier usé et déchiré.Les gens en prison sont mieux traités que les enfants et parents prisonniers du DPJ"."

sans commentaires

Ce lieu est aujourd'hui la source de mon mal être perpétuel.J'étais scolarisé à cet endroit de 1996 à 1999. Endroit abusif, mise en salle d'isolement pour des enfants qui n'étaient pas violents. Les cris des très jeunes enfants en situation de handicap dans les couloirs, enfants qui ne voulaient pas se faire garocher en salle d'isolement pour un crayon échappé au sol, pendant qu'on essayait de suivre la dictée de la prof frustrée de l'époque. immense fil d'attente pour les médications, parce que si on prenait pas nos médicaments, on n'était pas considéré comme sage.Aujourd'hui, je vis dans un autre pays, et j'ai été obligé d'en parler de peine et de misère à mon psychiatre actuel, qui m'a dit que c'était pas normal ce que je voyais et vivais indirectement à cette époque, il m'a diagnostiqué stress post-traumatique et m'a prescrit du Zoloft (Sertraline), un anti-dépresseur pour le PTSD qui ne guérit pas tout mais qui me permet de respirer mentalement. Ça m'a permis de faciliter le dialogue sur le sujet mais c'est encore difficile. Je n'ai plus les scènes de mise en salle d'isolement en tête qui se répète dans ma pensée même 25 plus tard, mais le choc est là encore.Tout ça parce que j'ai le syndrome d'Asperger. Excusez-moi d'exister à ma façon. Mais, peu importe, aucun enfant ou adulte en situation de handicap psychique ne devrait se faire détruire sa personne à ce niveau dans un milieu dit de soin ou d'apprentissage.Je suis dans la région en tant que touriste et de savoir que ce lieu existe encore, ça me fait mal encore.Jean-Félix Raynaud